
Réalisé par :
Avec : Pedro Pascal
Synopsis :
Mai 2020 à Eddington, petite ville du Nouveau Mexique, la confrontation entre le shérif (Joaquin Phoenix) et le maire (Pedro Pascal) met le feu aux poudres en montant les habitants les uns contre les autres.
- Titre original : EDDINGTON
- Sortie cinéma : 16 juillet 2025
- Nationalité : USA
- Année de production : 2024
- Avertissement : Interdit aux - de 12 ans (CNC), -12 (ARCOM)
Visa n° : 164 716
Matériel disponible dans vos salles :
DCP Teaser (63s) I disponible chez Deluxe, Globecast et Cinego
DCP Film Annonce (90s) I disponible chez Deluxe, Globecast et Cinego
Affiches 120x160 et affichettes 40x60 disponible chez Facility Event
Format son :
- 5.1
Affiche définitive 1
Affiche définitive 1
Affiche teaser 1
Affiche teaser 1
Bandes-annonces cinéma 3
Bandes-annonces cinéma 3
Habillages 12
Habillages 12
Contenus 32
Contenus 32
Affiches a3/a4 4
Affiches a3/a4 4
écrans de hall 4
écrans de hall 4
Cartons écran 4
Cartons écran 4
Critiques presse
« Ari Aster chronique la folie et le ridicule désespérant de notre époque, ses délires complotistes, sa post-vérité et son dialogue de sourds. Une charge politique agressive qui, en regardant le réel tel qu’il est, renouvelle le cinéma d’ordinaire tout en artifice d’Aster »
Cinema Teaser
« Dans cette satire mordante d’une Amérique encline à la violence et l’intolérance, le casting n’est pas en reste pour nous faire frissonner »
Cosmopolitan
« voici un western cinglant et cacophonique façon les frères Coen, sauce Maga trumpienne. De tous les plans, ou presque, Joaquin Phoenix est hilarant »
Elle
« brillante fable horrifique »
Le Nouvel Obs
« le réalisateur le plus satirique de hollywood signe un film choc sur une Amérique rongée par les réseaux sociaux »
Le Point
« Le trumpisme se manifestant comme spectacle, et sa violence s’enroulant dans une manière d’autoparodie, Eddington cherche moins à brocarder quiconque qu’à laisser le logiciel d’hyperréalité tourner à vide. Aster, n’amalgame pas les camps mais montre des luttes qui, filtrées par TikTok, s’ajustent à la dynamique du pouvoir. On peut entendre le rire d’Ari Aster couvrir ces scènes. L’estimer déplacé, facile, dénué d’amour, serait ne pas entendre qu’il s’agit d’un rire blanc, mais pas au sens identitaire. C’est un rire blanc comme la peur, un rire effaré d’auteur dont l’empathie même lui fait extrapoler l’horreur s’abbattant sur Eddington, un rire singulier qui lui sert à déféndre son être, à l’éloigner de l’image que lui inspire son pays : un bouffon trépané qui agonise dans un puits d’ombre »
Les Cahiers du Cinéma
« Joaquin Phoenix, prodigieux de bout en bout est le moteur d’un western paranoïaque qui ausculte la psychose contemporaine, en embrassant un spectre aussi large que possible »
Les Inrockuptibles
« ʺEddingtonʺ est bien une critique de l’Amérique ʺTrumpʺ. Et même si le nihilisme du film fait des dommages collatéraux, il lui insuffle aussi une puissance rare et réjouissante. »
L'Humanité Magazine
« Entre comédie, horreur et western, Ari Aster raconte une civilisation en déroute dans un film éreintant et virtuose
Première
"Ce western moderne magnifiquement filmé, et sa galerie de personnages instables sont d'une pertinence rare"****
Télé 2 Semaines
« Ari Aster décrit parfaitement l’impasse de sa société qui, à force de faire monter la pression, aboutit au cataclysme sidérant et jubilatoire de la seconde partie du film, où l’expression « jeu de massacre » prend tout son sens. Eddington est servi par des prouesses de mise en scène, un humour corrosif et un casting exceptionnel »
V.O.
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